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Une action en hommage à Zouhair Yahyaoui
18 juillet 2014, par jectk79

Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.


Pourquoi aller tracer partout pour faire établir des évaluations de d’assurances familiales alors qu’existent des portails tels que Sherpa-mutuelle.fr proposant de rapprocher les propositions avec un comparateur mutuelle sophistiqué en restant votre demeure ? site => mutuelle obligatoire


Abderrazek Bourguiba condamné à 25 mois de prison
15 novembre 2011, par Bourguiba

je vous remercie
bourguiba abderrazak



Quelques points marquant contre l’environnement en Tunisie
6 novembre 2011, par xZNRpEkXvbSPvAf

I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.



Et puis y a eu la Révolution :)
1er novembre 2011, par liliopatra

On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.



Va chialer ailleurs ( reponse)
30 octobre 2011, par Maud

Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...



Va chialer ailleurs ( reponse)
30 octobre 2011, par Maud

ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée



> Une pétition de 86 prisonniers tunisiens
30 octobre 2011, par Moussa

the death of an African giant

Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?

Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre



Liberté pour le Docteur Sadok Chourou
29 octobre 2011, par Dr. Jamel Tazarki

J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne



DECES D’OMAR CHLENDI
28 octobre 2011, par bourguiba

Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .

je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.

soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui



Projet libéral pour une nouvelle monarchie démocratique et laïque en Tunisie
22 octobre 2011, par Victor Escroignard

La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).



> Lotfi Hamdi, une Barbouze qui se voit ministrable
4 octobre 2011, par Anti Lotfi Hamdi

Bonjour Mesdames, Messieurs,

Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.

Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).

Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes

Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.

Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.

Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.

Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles

Vive la Tunisie sans hypocrites



Blog dédié à la défense du prisonnier politique Abderrahmane TLILI
4 octobre 2011, par bechim

bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie



> Tunisie, l’agression abjecte sur Samia Abbou par les voyous de Ben Ali
26 septembre 2011, par Liliopatra

Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.

Merci...

Lilia Weslaty



> Les procès de l’ignorance et les progrés de l’Homme
24 septembre 2011, par a posteriori, l’auteur Nino Mucci

Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)



que dieu te glorifie.
23 août 2011, par adyl

j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui



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Les internautes sous contrôle administratif.
par Rédaction de reveiltunisien.org
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5 avril 2006

Communiqué : Les internautes sous contrôle administratif.
par Rédaction de reveiltunisien.org
Comité international de soutien aux internautes de

partager:
Le ciel au-dessus de Tunis > Les Internautes de Zarzis
A luta pelo reencontro com os filhos
A histَria da mمe coragem
par Rédaction de reveiltunisien.org
15 février 2006

O amor لrabe de Teresa raptou-lhe os filhos. Ela lutou e ganhou-os de volta. Sَ a cadeia impediu o mais novo de voltar. Estل preso, acusado de terrorismo.

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Marta Vitorino

Se me derem a escolher, escolho os meus filhos e acabou !” Teresa Quintas Chopin estل na sua pequena casa em Viarmes, a pouco mais de 25 quilَmetros do aeroporto parisiense de Charles De Gaulle. Sentada à mesa, coberta por uma toalha de plلstico quadriculada, a emigrante portuguesa tem a seu lado três dos seus seis filhos. Nمo os viu crescer.

Teve-os do casamento dos seus 16 anos, com um tunisino substancialmente mais velho, que lhos levou, ainda crianças, para a Tunيsia. Quando cresceram, os que puderam, fugiram. Um a um. Sَ a morte e a cadeia impediram a fuga de Fلtima e Omar, este ْltimo preso em Tunis, acusado de terrorismo. Pertence a um grupo de nome enigmلtico - ‘internautas de Zarzis’.

Na costa oriental da Tunيsia, em frente à ilha de Djerba, Zarzis cresceu virada para o Mediterrâneo e para o turismo. Foi para uma casa térrea, tيpica daquelas paragens em que o deserto come o verde, que Ali, Ghalia, Ahmed, Ramzeddine, Fلtima e Omar foram levados pelo pai. Ali cresceram.

Em 1986, Mohamed aproveitou o mês de Agosto para levar os filhos, com idades entre os dois e os nove anos, à terra onde nascera. Iam de férias. Deveriam regressar a França.

A 1500 quilَmetros, de pé nas chegadas do aeroporto de Orly, Teresa iniciou, no final desse mês, uma longa espera de 15 anos. “Os meus filhos nمo estavam no aviمo. Esperei, esperei, imaginei tudo o que se pode imaginar. Quando cheguei a casa, jل estava doente. Telefonei para lل e ele atendeu o telefone a rir-se ; dizia que nunca mais veria os meus filhos.”

Corria a meio o processo de divَrcio de Mohamed Chlendi e Teresa Quintas. Para a portuguesa era o princيpio de um modo de vida, sempre em luta pelos filhos. Primeiro para lhes conseguir dizer que uma mمe nunca esquece, depois para os abraçar, os ter de volta. E, desde 2003, para libertar aquele que, por um triz, nمo conseguiu voar para França, agarrado pela polيcia do estado tunisino e condenado a 13 anos de pena numa cadeia que lhe mata todos os dias um bocadinho de vida.

TERESA EMIGROU PARA FRANاA com os pais em 1970. Tantos anos depois, entre os érres da lيngua de adopçمo, ainda se lhe nota no português a pronْncia do Norte de Portugal, do distrito de Braga, onde nasceu hل 46 anos. “Casei muito nova, aos 16 anos, ele tinha 34. O senhor jل tinha tudo preparado porque nمo imaginava casar com uma pessoa da idade dele, com outras ideias. Teria de ser a criança que eu era e que ele queria moldar à sua imagem.” Saem tortas da garganta as palavras de Teresa ; refere-se sempre ao ex-marido, Mohamed, pelo pronome pessoal ou pelo tيtulo de ‘senhor’.

Um ano depois do casamento, teve o primeiro filho, o Ali ; a seguir nasceram mais cinco com um intervalo de 11, 12 meses. “Até aos 23 anos, sَ fiz filhos.”

Depois abriu os olhos, começou a ver o seu amor لrabe doutra maneira. Mohamed afinal até bebia, depressa se tornou “muito mau”. “Ele batia-me, eu passei... Com a bebida, partia tudo, ameaçava, trazia para casa facas e pistolas. Queria tudo menos trabalhar.”

A adolescente cresceu mمe e teimosa, depressa saiu da sua casa para casa dos pais. Era o Verمo de 1984. No mês dos emigrantes, regressou a Portugal, à terra, com os pais, os irmمos e os filhos. Ghalia, a filha mais velha, ainda se lembra das festas populares de uma terra estranha, com lيngua que hoje entende mas nمo fala.

NA PARسQUIA de Santa Marinha de Oleiros, Teresa baptizou as crianças. “Um dia, ele apareceu lل, vinha para buscar os filhos. Eu disse-lhe que estلvamos em Portugal de férias, que voltaria a França.” Teresa acaba por regressar, inclusive à casa donde fugira. Mohamed “andou mais assim, mais assim”, a persuasمo funcionou. “Quando entrei em casa, o senhor disse que jل me podia matar.” A obsessمo de Teresa passa a ser um tecto. Uma casa que a abrigasse, a ela e aos seus seis filhos - “nمo era fلcil e nمo podia ficar em casa de ninguém com tantas crianças.” Quando arranja, aproveita a ausência de Mohamed, ensaca as roupas em sacos de plلstico preto, pega nos filhos - o mais pequeno tinha dois anos - e foge.

Durante três meses vivem sozinhos. “Tinha muito medo que aquele senhor nos descobrisse. Esse dia acabou por chegar. Ele bateu à porta, deu o papel de um medicamento para um dos meus filhos e foi embora.” O processo de divَrcio corria, Teresa espera a guarda legal dos filhos. Mohamed deixa de ameaçar, exige apenas a guarda partilhada dos filhos.

Em Julho de 1986, o primeiro mês de férias foi o ْltimo que Ali, Ghalia, Ahmed, Ramzeddine, Fلtima e Omar viveram com a mمe. No mês seguinte, o pai quis levل-los à Tunيsia, a Zarzis, a terra onde nascera e onde mora toda a sua famيlia. Teresa arrepiou-se mas nمo se opôs. “Disse-lhe apenas : ‘Vê lل que, quando fui de férias a Portugal, regressei’.” A guarda legal dos filhos concedida pela lei francesa nمo vale nada na Tunيsia, o paيs protege os seus naturais, a cultura a preponderância do pai sobre a mمe. Durante um ano, Teresa nمo consegue saber das crianças.

Em meados de 1987 começa a odisseia. Aluga um carro e percorre sozinha 600 quilَmetros em terra tunisina. Tinha comprado um contacto que lhe deveria trazer os filhos. “Com dinheiro compra-se tudo ; vende-se o pai e a mمe por dinheiro.” Mas o contacto comprado trai-a. Mohamed fica a saber que a ex-mulher estل ali para levar os filhos, à socapa, mesmo sem ter os passaportes que ele guarda. O estratagema incluيa, também a troco de dinheiro, o regresso de barco até Marselha.

Teresa volta a Paris sozinha. Conhece outras francesas com filhos levados pelos pais para o Norte de ءfrica, que contratam advogados cuja acçمo se lhe afigura lenta e pouca. “Elas sَ conseguiam ver as crianças um quarto de hora ou nunca conseguiam descobrir para onde o pai os tinha levado.”

OS PACOTES COM ROUPA e os brinquedos que envia retornam na volta do correio. As cartas que Teresa manda, o pai esconde-as por ler mas gasta o dinheiro que levam dentro.

Para Teresa começa o trabalho de paciência - vai a Zarzis e volta e torna a ir e bate à porta até conseguir entrar. Lembra-se da primeira vez que abraça os filhos ; decorria o acto eleitoral que elegeu o actual presidente Zine El Abidine Ben Ali, em Novembro de 1987.

“Sَ consegui tudo sozinha, sem ajuda de ninguém, porque os meus filhos nمo me esqueceram. E o senhor fez-lhes uma lavagem cerebral, disse-lhes que tinha sido a mمe a abandonل-los.” Nos primeiros anos, a presença de Teresa sَ é sentida quando esta vai a Zarzis, sempre carregada de brinquedos e roupa. “Acabei por ganhar terreno e passei a conseguir apanhar um aviمo, chegar lل e vê-los. Mesmo que ele me chateasse a cabeça.”

O tempo acabou por ser o maior aliado da mمe. Com a entrada dos filhos para o colégio, Teresa passa a enviar a correspondência para casa de colegas. A ligaçمo filial corre finalmente sem interrupçُes. Quando começam a entrar para a Faculdade, a Internet ganha à folha de papel, a correspondência jل nمo precisa de tinta. “Eles estavam longe do pai, a cento e tal quilَmetros. Foi assim que começلmos a viver um bocado.”

Mas a Internet que os aproximou, havia de a separar de um dos seus seis filhos, logo quando o corredor entre Zarzis e Paris tinha sido realidade para três dos seus rapazes. “Quando o mais velho atingiu a maioridade enfrentou o pai e ele devolveu-lhe o passaporte. O meu filho veio ter comigo. Foi o primeiro.”

TERESA CASA-SE NOVAMENTE. Nasce Guillaume, o miْdo crescido demais para os oito anos, que gravita em torno da saia dela na casa de Viarmes.

Grلvida, vai a Zarzis comunicar aos filhos que vمo ter um irmمo. Diz-lhes que agora precisa de tratar do bebé que vem a caminho, que nمo torna à Tunيsia, que arranjem eles maneira de dar o salto. A porta estل aberta.

Ali chega em 2000, aos 23 anos. Ahmed em 2001 e Ramzeddine em 2002. Em 2003, Omar preparava-se para vir, quando polيcia à paisana bateu à porta da casa de Zarzis. “Eles começaram a falar com ele, depois meteram-no dentro do carro.” Durante 18 dias, ninguém soube nada de Omar.

A 27 de Fevereiro dizem a Mohamed que o filho estل numa prisمo militar. “Quando o pai viu o filho e o filho viu o pai, nمo se conheceram. Omar estava perdido da cabeça dele, tinha levado tanta porrada que estava desfigurado.”

O filho mais novo de Teresa Quintas e Mohamed Chlendi tinha 20 anos quando foi detido, ele e mais cinco jovens, todos de Zarzis. Teresa diz que Omar, antes de ser transferido para uma cadeia em Tunis, a capital tunisina, esteve preso nu, “suspenso pelas correias que os mecânicos usam para tirar os motores dos carros.”

Na Tunيsia restavam Fلtima e Ghalia. “A 8 de Setembro de 2004, recebi um telefonema com a notيcia. Fلtima ia num carro com o pai, inscrever-se na faculdade. O senhor disse que o tractor ia sem luzes. Ela era muito alta, ia sentada de lado no banco de trلs. O pai guinou, escapou com vida, ela morreu.” Os cotovelos de Teresa apoiam-se em posiçمo de desgosto na mesa da sala da casa de Viarmes, nada do que lhe aconteceu lhe faz às mمos e aos olhos aquilo que lhe faz a morte da filha. Regressa a Zarzis para o enterro.

Ghalia, a menina que se lembra das festas de Braga, fica sozinha. Hل muito que jل deixou de suportar a vida na Tunيsia : “Lل uma mulher sai duas vezes de casa, quando vai para casar e para enterrar.” Ela sente-se vigiada pelo pai, vigiada pelo governo por causa do irmمo - “foram ao quarto da Faculdade revistar tudo.”

Rouba o passaporte e chega com a roupa do corpo ao aeroporto de Orly. Ao telefone com Teresa, Mohamed chora aquela filha. A portuguesa responde : “Agora jل sabes o que eu senti.”

“ESTOU COMO VOCتS SABEM, todos os dias espero pela hora da verdade em que possa sair deste buraco mas nada de novo, os dias sَ se repetem. Espero rever-vos proximamente inchallah, de ter mais ocasiُes para vos ver, vos abraçar a todos (...) Entمo como prometi 1000000....... beijos para si e toda a famيlia, da parte de Omar.”

Três anos antes desta carta, na véspera do julgamento, Teresa reviu o filho na cadeia. Estavam separados por duas grades. Nمo se puderam abraçar. O filho mais novo da sua relaçمo com Mohamed foi condenado a 19 anos de prisمo, depois comutados para 13 em recurso judicial de 6 de Julho de 2004.

Nessa vez, abraçou-o na sala do Tribunal. “Durante dez horas de processo, estiveram todos de pé e nunca puderam falar da tortura e do horror. As provas que os condenaram foram um cartمo de carregamento de telemَvel, pلginas de Internet sem endereço. A prova principal era um tubo de cola.”

Para o Estado tunisino, os seis Internautas de Zarzis sمo culpados do crime de terrorismo e de ligaçُes à Al-Qaeda. Para Teresa, o seu filho é sَ culpado de aceder à Publinet, os postos de Internet pْblicos - naquela terra uma necessidade turيstica. “Como pode ele ser terrorista, meu Deus ? Sَ por ir à net ? Como é possيvel ? Eles eram todos de Zarzis mas nem eram todos amigos. Isto foi sَ para servir de exemplo.”

Teresa Quintas retoma a caminhada dolorosa para a Tunيsia. Em Janeiro de 2005, quando o visita na cadeia encontra-o cabisbaixo, com as mمos cobertas pela camisola. Teresa, que tinha conquistado visitas de proximidade graças ao consulado francês em Tunes, arregaça-lhe as mangas. “Ele estava todo comido pela sarna e tinha os dedos dos pés infectados.” Vira-se do avesso, na angْstia interpela os guardas e, no dia seguinte, fala com o director da prisمo. Omar recebe a visita de um médico, ganha um colchمo e um cobertor.

GUILLAUME RODOPIA EM TORNO da mمe que voltou hل três dias da Tunيsia ; sabe que ela foi ver o seu irmمo preso. “Omar estل com um problema nos joelhos, precisava de ser operado. Mas o que me preocupou mais foi ele dizer que estل a pensar fugir. Eu disse-lhe ‘nمo faças isso’, estamos a fazer um trabalho muito grande, nمo faças asneiras. Tenho medo de que ele seja apanhado e que morra. Muitos morrem na prisمo.”

Os dias de Teresa Quintas, Chopin pelo ْltimo casamento, sمo de trabalho : numa instituiçمo de idosos, em casa e ao computador. “Por causa da Internet foi o meu filho preso, por causa dela serل liberto.” Ela acredita que quanto mais barulho fizer, mais protestar junto de organizaçُes internacionais, mais mobiliza a opiniمo pْblica e mais pressiona o estado tunisino. Mais perto estarل de abraçar em liberdade Omar.

Na sua pequena casa em Viarmes, para onde se mudou hل seis meses, Teresa Quintas prepara para dia 17 a segunda ediçمo de um concerto de solidariedade para com o seu filho de Zarzis : “O meu marido actual nunca acreditou e nem depois aceitou que os meus filhos viessem. E, hoje em dia, a minha vida é isto, lutar pelo Omar. Pedi outra vez divَrcio, vendi a boa vivenda que tinha, perdi um bom emprego e é assim a vida e nمo me importo. Se me derem a escolher, escolho sempre os meus filhos e acabou !”

O FENسMENO FRANCتS

RAPTOS

“Este problema (do rapto de crianças pelo pai) estل a aumentar todos os anos por causa da incapacidade de resolver os casos, mas também devido ao aumento da emigraçمo”, lê-se no relatَrio de Michael Hancock do Comité Europeu para os Assuntos da Famيlia, Saْde e Sociedade. No inيcio da década de 80, dez anos depois do problema se começar a notar, com o inيcio da emigraçمo لrabe, o estado francês estabeleceu acordos bilaterais com a Turquia, Marrocos e o Egipto. Estes acordos falharam : “As crianças raramente regressam a França.” Razُes ? “A lei nestes paيses mulçumanos, que recusam a dupla nacionalidade, dمo predominância aos direitos do pai, consideram a emigraçمo um fenَmeno temporلrio e, por isso, os filhos entretanto nascidos sَ podem pertencer à cultura do pai”, escreve Hancock. Em 2000 havia identificados 800 casos de raptos.

CONDENAاصES SEM FUNDAMENTO

DOSSIER ZARZIS

“O dossier de acusaçمo dos jovens de Zarzis é demasiado escasso para justificar uma pena tمo grande. No decurso do processo, a utilizaçمo da Internet serviu para suportar condenaçُes sem fundamento (...)”, lê-se num documento dos Repَrteres Sem Fronteiras.

O processo de Zarzis condenou oito pessoas, duas nمo cumprem pena por residirem em França e na Alemanha. Um menor de idade foi condenado a 24 meses em Tribunal de Menores e aguarda o recurso da decisمo judicial.

No Fَrum Barcelona 2004, Sihem Bensadrine do Forum Nacional para Liberdade na Tunيsia disse : “A 22 de Junho, oito pessoas foram condenadas por (...) visitar sites de armamento. O dossier de acusaçمo é desprovido de qualquer prova consistente, a nمo ser as prَprias confissُes arrancadas sob tortura e que foram por eles desmentidas no Tribunal.” A Aministia Internacional tem mostrado preocupaçمo com a falta de liberdade de expressمo e a situaçمo dos presos polيticos. Fernanda Cachمo, enviada especial a Paris



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