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Une action en hommage à Zouhair Yahyaoui
18 juillet 2014, par jectk79

Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.


Pourquoi aller tracer partout pour faire établir des évaluations de d’assurances familiales alors qu’existent des portails tels que Sherpa-mutuelle.fr proposant de rapprocher les propositions avec un comparateur mutuelle sophistiqué en restant votre demeure ? site => mutuelle obligatoire


Abderrazek Bourguiba condamné à 25 mois de prison
15 novembre 2011, par Bourguiba

je vous remercie
bourguiba abderrazak



Quelques points marquant contre l’environnement en Tunisie
6 novembre 2011, par xZNRpEkXvbSPvAf

I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.



Et puis y a eu la Révolution :)
1er novembre 2011, par liliopatra

On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.



Va chialer ailleurs ( reponse)
30 octobre 2011, par Maud

Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...



Va chialer ailleurs ( reponse)
30 octobre 2011, par Maud

ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée



> Une pétition de 86 prisonniers tunisiens
30 octobre 2011, par Moussa

the death of an African giant

Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?

Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre



Liberté pour le Docteur Sadok Chourou
29 octobre 2011, par Dr. Jamel Tazarki

J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne



DECES D’OMAR CHLENDI
28 octobre 2011, par bourguiba

Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .

je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.

soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui



Projet libéral pour une nouvelle monarchie démocratique et laïque en Tunisie
22 octobre 2011, par Victor Escroignard

La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).



> Lotfi Hamdi, une Barbouze qui se voit ministrable
4 octobre 2011, par Anti Lotfi Hamdi

Bonjour Mesdames, Messieurs,

Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.

Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).

Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes

Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.

Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.

Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.

Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles

Vive la Tunisie sans hypocrites



Blog dédié à la défense du prisonnier politique Abderrahmane TLILI
4 octobre 2011, par bechim

bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie



> Tunisie, l’agression abjecte sur Samia Abbou par les voyous de Ben Ali
26 septembre 2011, par Liliopatra

Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.

Merci...

Lilia Weslaty



> Les procès de l’ignorance et les progrés de l’Homme
24 septembre 2011, par a posteriori, l’auteur Nino Mucci

Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)



que dieu te glorifie.
23 août 2011, par adyl

j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui



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Revue de presse n°405
par Ahmed Fouednejm
14 mai 2003
N ° 405
La Revue de Presse (RDP) est publiée quotidiennement sur le site www.reveiltunisien.org. 

Vous êtes désormais 160 personnes à recevoir quotidiennement la RDP.
N’hésitez pas à la transférer à vos amis.

fouednejm@hotmail.com et fouednejm@yahoo.com 


La revue de presse, ce sont les meilleurs articles des principaux quotidiens européens ainsi que les infos de dernière minute des agences de presse choisis pour vous en toute subjectivité par Ahmed fouednejm. Les URL de quelques articles du site de la télévision qatarie Al Jazeera (en arabe) et d’Al Quds Al Arabi (journal panarabe édité à Londres) seront également donnés.

Sommaire :

Partie arabe : (Al Quds Al Arabi) :

  1. "Les explosions de Ryad : un double message" LIRE L’ARTICLE
Partie Française : (Le Monde, AFP, TUNeZINE, Le Soir)
 
Au sommaire aujourd’hui 6 articles et dépèches du Monde (édition du 15 mai), de TUNeZINE, du Soir et de l’AFP.
  1. Attentats à Ryadh : Et si Ben Laden avait gagné en Arabie Saoudite ? (Le Soir)
  2. Argentine : Retrait de Menem du 2ème tour ? (Le Monde).
  3. Algérie : 17 otages libérés (Le Monde)
  4. Palestine : Les meurtres des FOI continuent, en toute impunité ! (AFP)
  5. Tunisie : L’affaire Osmani, une énorme manipulation ? Appel pour la défense de la libre _expression (TUNeZINE)
Achevée aujourd’hui à 15 H 35 GMT.
 
Bonne lecture !
 
Le bilan de plus de 90 morts avancé hier par des "responsables (anonymes) du département d’Etat (américain), suite aux attentats de Ryad, semble être énormément exagéré. On parle aujourd’hui de 34 morts. ةtait-ce une tentative américaine (maladroite) pour enfoncer davantage les autorités de l’Arabie Saoudite ? Force est de constater que les différentes agences de presse ayant repris ce chiffre exagéré n’ont pas (encore) enquêté sur les raisons de la disparité entre les chiffres avancés et le bilan quasi-définitif. La RDP d’hier qui a repris les informations des agences de presse présente ses excuses pour cette précipitation.

 
 
I Attentats à Ryad :
 
 
 
Et si Ben Laden avait gagné en Arabie Saoudite ?

Analyse

BAUDOUIN LOSS

ANALYBAUDOUINAvec les attentats de lundi soir à Riyad, jamais la famille Saoud n’a-t-elle pu apprécier d’une manière aussi Avec Avec les attentats de lundi soir à Riyad, jamais la famille Saoud n’a-t-elle pu apprécier d’une manière aussi amère les périls induits par l’impossible politique qui consiste à prôner un islam rigoriste tout en comptant sur les " mécréants " d’Amérique pour sa sécurité et même sa survie.

Car telle reste l’Arabie Saoudite, le seul Etat au monde portant le nom d’une famille : un régime zélateur d’un islam conservateur, puritain, dogmatique et prosélyte - le " wahhabisme ", du nom de son fondateur, le jurisconsulte sunnite Muhammad Ibn Abd al-Wahhab, qui s’allia à la famille Saoud en 1744 -, qui dépend du contrat tacite signé avec l’" Oncle Sam " il y a plus de cinquante ans pour assurer son maintien au pouvoir.

Contrat ? Du genre " pétrole contre sécurité ", qui connut son apogée en 1990, quand les Saoud, alertés par la prise du Koweït par la soldatesque de Saddam Hussein, firent appel aux soldats américains pour les défendre. Les Américains, qui avaient pris soin d’apeurer les Saoud en gonflant la menace, n’ont plus quitté le sol saoudien, sans égard pour le " sacrilège " que leur présence incarnait aux yeux des fidèles du wahhabisme. Oussama Ben Laden lui-même en fit son cheval de bataille.

Les Etats-Unis n’ont pas cessé, par la suite, de devenir de plus en plus impopulaires, voire haïs au pays du Prophète. Et l’actualité la plus chaude accentua le phénomène. Le franc soutien américain à Ariel Sharon révulse les Arabes qui voient dans le Premier ministre israélien l’incarnation même de l’abomination, alors que la chute de Bagdad, phare éteint de la grandeur des Abbassides, amplifia encore un immense sentiment d’humiliation. Et plus encore en Arabie Saoudite qu’ailleurs.

Pourquoi ? Contrairement au cliché qui présente les Saoudiens comme figés dans leurs traditions tribales, la société saoudienne connaît de profondes mutations. Sous la forme d’un choc de cultures qui affecte une majorité des citoyens, les citadins (80 % de la population) : ceux-ci, en effet, reçoivent une éducation traditionaliste mais vivent dans un ultramodernisme des moyens de communication synonyme d’ouverture sur le monde, avec les portables, l’internet et aussi les très populaires télévisions par satellite.

Mais l’improbable identité hybride qui résulte de ce choc se meut aussi dans un paysage social sinistré, car, on le sait peu, chômage massif et paupérisation rampante font des ravages en Arabie, où la jeunesse - deux tiers des Saoudiens ont moins de 25 ans - offre ses doutes en pâture à des imams parfois fanatisés.

Ces imams-là n’hésitent plus à mettre en cause la famille régnante et ses mœurs dénoncées comme dissolues, critiques atténuées par l’arrivée d’un " régent " très pieux, Abdallah, demi-frère du roi Fahd frappé par la maladie depuis huit ans. La culture du jihad, de la guerre sainte contre les infidèles, gagnerait malgré tout du terrain, nourrie par le despotisme des uns, le fondamentalisme des autres et l’injustice en général.

Les Saoud ont bien conscience du malaise. Tirant les leçons d’une modernité technique désormais à la portée du plus grand nombre, ils ont, récemment et prudemment, ouvert les vannes de la liberté d’_expression dans la presse. Avec, pour résultat prévisible, un déchaînement de critiques antiaméricaines et anti-israéliennes. Un autre " axe du mal ", USA, Grande-Bretagne et Israël, y est ainsi vitupéré tous les soirs à la télévision. Ben Laden, vivant ou non, semble avoir gagné le cœur d’une bonne partie des Saoudiens.

Et, si les Américains ont décidé, en avril dernier, de fermer leur grande base aérienne Sultan - dont l’installation, près de Riyad, venait de s’achever ! -, chacun sait là-bas qu’ils resteront à portée de fusil de leurs obligés, dans les bases qu’ils possèdent chez les petites pétromonarchies du golfe Persique.

Aux Etats-Unis, ceux qui avaient avancé qu’un Irak sous contrôle se justifiait notamment en raison des doutes sur la loyauté des Saoudiens voient leur thèse confortée par les attentats. Certes, le régime est aussi la cible indirecte des kamikazes, mais les Américains ont souvent fustigé les circuits occultes de financement du terrorisme dans lesquels nombre de Saoudiens aisés, voire de sang royal, auraient été impliqués sous couvert d’œuvres charitables.

Une chose est sûre : entre ses protecteurs américains et les adeptes de l’islam rigoriste qu’il est lui-même censé incarner, le pouvoir des Saoud se trouve devant un choix cruel.

 
II Argentine : 
 
 
 
Le ventre de « une »
Et si, en Argentine, Carlos Menem se retirait de la course ?
 

Buenos aires de notre correspondante

Amoureux de la politique conçue comme un spectacle, les hommes de Carlos Menem ont fait courir d’insistantes rumeurs, mardi 13 mai à Buenos Aires, indiquant que l’ex-président péroniste (72 ans) se retirait de la course à la présidence face aux catastrophiques sondages qui le donnent grand perdant lors du second tour de l’élection, dimanche 18 mai. Son concurrent, Nestor Kirchner, le gouverneur péroniste de la province de Santa Cruz (Patagonie), est crédité d’au moins 30 points d’avance.

De folles informations, provenant du cercle intime de M. Menem et de son épouse Cecilia Bolocco, ex-Miss Univers chilienne, ont circulé toute la journée dans les rédactions : l’ex-président annoncerait officiellement son retrait, mercredi 14 mai, depuis sa province de La Rioja. Une "lettre aux Argentins" expliquant les raisons de sa capitulation a été diffusée sur Internet mais son authenticité a été démentie dans la soirée. Dernier coup de théâtre, dans la nuit : M. Menem est apparu quelques secondes en bras de chemise au balcon de l’hôtel Presidente, à Buenos Aires. Avec un sourire énigmatique, le vieux caudillo a salué les centaines de partisans venus le supplier de ne pas jeter le gant. M. Menem a refermé les rideaux de la chambre sans dire un mot, avec le même style provocateur que pendant ses dix années de gouvernement (1989-1999), qui ont débouché sur la crise politique, économique et sociale la plus grave de l’histoire argentine.

Si ces rumeurs se confirmaient, M. Kirchner (53 ans) deviendrait automatiquement le nouveau président de l’Argentine avec les 22 % des voix que le gouverneur a obtenus au premier tour, le 27 avril, derrière M. Menem. Un faible score qui mettrait en cause la légitimité du chef de l’Etat.

"M. Menem est capable de tout", a déclaré M. Kirchner. "Ce serait une grave irresponsabilité", a affirmé de son côté le président actuel, Eduardo Duhalde (péroniste). Mais celui-ci, qui soutient Nestor Kirchner, avait bel et bien contribué à alimenter toutes ces rumeurs en prédisant la défaite de Carlos Menem "par knock-out ou par abandon".

Christine Legrand

 
 
 
III Algérie :
 
 
 
 
Dix-sept touristes retenus en otage dans le Sahara ont été libérés par l’armée algérienne
 
 
Les quinze touristes européens encore portés disparus seraient détenus par "un second groupe terroriste", selon le minsitère algérien de l’intérieur.

Dix-sept des trente-deux touristes européens disparus dans le Sahara algérien, pour certains depuis la fin du mois de février, ont été libérés, mardi 13 mai, au terme d’une opération menée par l’armée, a-t-on appris de différentes sources européennes et algérienne.

Les otages, détenus, selon certaines sources, dans la région d’Imedir, une zone montagneuse difficile d’accès entre Tamanrasset et In Sahah, sont tous sains et saufs. En revanche, neuf des quelque trente ravisseurs auraient été tués au cours de l’opération menée par les forces de sécurité, croit savoir le quotidien francophone El Watan dans son édition du jour.

Les touristes libérés (10 Autrichiens, 6 Allemands et 1 Suédois) ont été transférés par avion de Tamanrasset à Alger. Après un examen médical, les Allemands auraient été remis à leur ambassade. "Ils se portent bien", a indiqué mercredi matin à Berlin un porte-parole du ministère allemands des affaires étrangères. Côté autrichien, la ministre des affaires étrangères, Benita Ferrero-Waldner, s’est refusée à fournir des informations complémentaires sur les conditions dans lesquelles les otages avaient été secourus "par considération pour les autres touristes disparus (...) qui ne sont pas encore en sécurité".

Les autres touristes, dont on reste sans nouvelles (de nationalité allemande, suisse, néerlandaise), sont détenus, selon des sources locales, dans une autre zone plus facile d’accès, le plateau du Tamelrik, à l’ouest de la ville d’Illizy, une agglomération proche de la frontière libyenne. "Le dispositif de l’armée reste en place", a indiqué au Monde le responsable algérien sans indiquer si une seconde opération militaire était imminente.

L’identité des ravisseurs n’a pas été davantage précisée. Récemment, une source militaire "autorisée" avait affirmé au Monde que les Européens, qui tous circulaient sans guide local dans une zone très peu fréquentée du Sahara, se trouvaient entre les mains d’Islamistes membres d’un groupe concurrent du GIA, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC). Le nom du responsable local du groupe islamiste avait été avancé : l’émir Ammari, dit Abdelrezak. Cela semble également être l’avis des autorités algériennes : le ministère algérien de l’intérieur a affirmé mercredi 15 que les quinze touristes européens encore portés disparus seraient "détenus par un second groupe terroriste".

Sur place, l’information n’avait guère convaincu les Touaregs qui, eux, continuent à privilégier, la piste de brigands de grands chemins. Le fait est que, dans la région, haut lieu de contrebande entre l’Algérie, la Libye et le Niger, des groupes incontrôlés font main basse sur les caravanes de véhicules tous terrains propriété d’entreprises publiques algériennes.

PAS DE POURPARLERS

Les conditions de libération du premier groupe d’otages ne sont pas plus claires. "Ils ont été libérés par la force. Il n’y a jamais eu de négociations", a confirmé mercredi au Monde un dirigeant algérien sous le couvert de l’anonymat.

Si l’information est exacte, elle va à l’encontre des recommandations des autorités européennes directement concernées par l’enlèvement. Toutes avaient préconisé de négocier avec les ravisseurs et de ne pas tenter une opération de force pour les libérer. "Nous espérons que l’on n’aura pas recours à la force pour libérer (...) ces otages", avait ainsi rappelé le chef de la diplomatie allemande, Joschka Fischer, qui s’était rendu en début de semaine à Alger, accompagné du chef des services de renseignements, pour évoquer l’affaire des disparus.

Selon plusieurs sources les ravisseurs avaient demandé à négocier directement avec Berlin et une demande de rançon avait été transmise au gouvernement. Les autorités allemandes auraient "catégoriquement" refusé ce marchandage, selon les services de sécurité allemand, dont une unité spécialisée dans la lutte contre le terrorisme, le GSG9, se trouvait à Alger début avril.

Jean-Pierre Tuquoi

 
IV Palestine :
 
 
 
14 mai, 16h10
Un enfant palestinien tué par des tirs israéliens à Jénine
 
Un enfant palestinien de 12 ans est mort mercredi, peu de temps après avoir été grièvement blessé à la tête par des soldats israéliens qui menaient une incursion à Jénine, dans le nord de la Cisjordanie, a-t-on appris mercredi de sources hospitalières palestiniennes.
Selon un correspondant de l’AFP sur place, Diya Ghaouadrah, 12 ans, a été atteint par un tir de mitrailleuse près de l’hôpital de Jénine, non loin d’une maison cernée par l’armée et où étaient retranchés des activistes palestiniens recherchés.
Trois autres Palestiniens ont été blessés par des tirs israéliens dans cette opération et trois activistes ont été capturés, dont un membre des Brigades des Martyrs d’al-Aqsa.
La mort de cet enfant porte à 3.229 le nombre de tués depuis le début de l’Intifada fin septembre 2000, dont 2.438 Palestiniens et 731 Israéliens.

 
V Tunisie :
 
 
Omar Mestiri :
 
Il y a tout lieu de croire que les milieux Démocratiques tunisiens viennent d’être victimes d’une gigantesque opération d’intoxication montée par les services spéciaux tunisiens à travers l’« affaire Maher Osmani », objet d’un large écho médiatique international et qui a mobilisé de nombreuses ONG durant les deux dernières semaines. Certaines sources tunisiennes, généralement fiables, ont lancé un appel au sujet d’un jeune tunisien répondant à ce nom qui serait décédé entre le 20 et 21 avril dans les locaux de la sécurité d’Etat des suites de torture.

La principale source à l’origine de l’affaire qui s’est présenté aux auteurs de l’appel comme étant « le frère de Maher Osmani », s’est révélé en fait un usurpateur, puisqu’il est aujourd’hui avéré qu’il s’agit en réalité de Tarek Ferchichi. Les responsables du communiqué à l’origine de l’affaire ont eu connaissance de ce fait depuis plusieurs jours. Aucune précision n’est venue éclairer l’opinion et mettre un terme à cette grande manipulation. On ne peut que regretter que la célérité - pour ne pas dire la légèreté - de l’alerte initiale ait laissé place à une rétention d’information, contribuant à abuser toutes les bonnes volontés qui se sont engagées dans une formidable mobilisation.
Pourtant, ces éminents juristes savent mieux que personne que ce dossier ne repose que sur de simples assertions non vérifiées. Le CNLT qui a observé une stricte réserve à l’égard de cette agitation médiatique, s’est mobilisé des jours et des jours pour trouver des faits confirmant les thèses allègrement étalées sur l’internet. Ses enquêteurs se sont rendus dans les quartiers supposés de la résidence de la prétendue victime ; dans les cimetières ; ils ont vérifié les registres de l’état civil, les instructions ouvertes dans les tribunaux… bref, aucun indice matériel n’a pu être collecté. Le fait que toute cette affaire ne repose que sur les paroles d’une personne qui s’avère être un imposteur, affaiblit singulièrement la thèse avancée.
Il peut arriver à tout le monde, malgré les précautions d’usage, de tomber, de bonne foi dans le traquenard de l’intoxication auquel nous sommes soumis à chaque instant, cela n’a en soi rien de déshonorant. C’est l’une des armes de prédilection des dictateurs et il est assez courant que des militants aguerris soient piégés par les désinformateurs. Simplement il est de leur devoir de déjouer l’opération publiquement, prévenir leurs partenaires et l’opinion publique afin de minimiser les dégâts d’une part et d’aider à cerner les dysfonctionnements à titre pédagogique, d’autre part.
Nous pouvons comprendre qu’on puisse garder encore des doutes malgré certaines évidences… mais il est inexcusable de ne pas informer l’opinion publique et nos partenaires de faits avérés et essentiels, que chacun pourra interpréter selon sa conscience. Les responsables de cette rétention tombent ainsi, malgré eux, dans une collaboration indirecte et irresponsable avec les auteurs de l’intox. Nous avons attendu plusieurs jours une mise au point de leur part. Il est de notre devoir de rompre le silence. Car il y va de la crédibilité de l’ensemble des défenseurs tunisiens des droits de l’homme.
Tunis le 13 mai 2003
Omar Mestiri
 
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Réponse de Abdel Wahab Hani (publiée sur TUNeZINE également)
 
C’est un acte irresponsable de Omar Mestiri, s’il tient à le publier, ce texte non signé du CNLT, donc non officiel, il en assumera les conséquences. Si l’information qui a circulé est vraisemblable et pas encore prouvée d’une manière irréfutable, il faut laisser le temps à l’investigation aux défenseurs et en premier lieu desquels l’AISPP, que Monsieur Mestiri n’ose même pas citer, et des avocats sur place à Tunis. Je suis étonné que Omar Mestiri, qui par ailleurs est, comme il le dit lui même, totalement isolé, puisse faire les investigations qu’il énumère, aussi rapidement en quelques jours ! Cette contre alerte de Omar Mestiri qui a circulé dans les milieux des ONG internationales est un acte irresponsable et prématurément précipité. C’est aussi une opinion purement subjective qui n’a rien à avoir avec une enquête sérieuse, devrant mobiliser plus d’énergie, de temps et de sérieux et surtout ne pas tirer des conclusions aussi hatives. Le rôle des défenseurs est de faire le maximum possible de travail d’investigation et d’enquête, pour juger si l’affaire est vraisemblable ou pas, avant de formuler des allégations et de demander aux autorités de diligenter une enquête indépendante pour établir la vércité des faits. Chose que l’AISPP avait fait. Le reste c’est à l’enquête indépendante et impartiale de le démontrer, et que chacun s’en remettre à ses résultats.

Laissez le temps de l’investigation et si Omar Mestiri est resté prudent, comme il nous l’explique dès le début de l’affaire, ça serait bien qu’il le reste encore. Aucun n’a le monople des Droits de l’Homme, comme aucun n’a celui du coeur. Il y va du code de bonne conduite et de la déontologie.

Si le texte de Omar Mestiri devient publique, je me garde le droit de le commenter et de le dénoncer, avec la plus grande vigueur qui s’imposera et les leçons à en tirer. Le mieux étant qu’il le garde pour lui et qu’il laisse le temps à l’investigation objective dont il n’a pas le monopole et dont il ne peut se substituer, malgré son fort actif de défenseur des droits de la personne.

Fraternellement,

Abdel Wahab Hani
 
 
 
 
                 Appel pour la défense de la libre _expression
 
La rétention de l’information, l’auto censure, la médiocrité et la flagornerie, mais aussi, la répression et l’intériorisation de la peur, envahissent et hantent les salles de rédaction ; les défier ou vouloir les transgresser, expose leurs auteurs à des sanctions en cascade.

De plus en plus, les professionnels de l’information deviennent des fusibles : le 16 décembre 2002, un journaliste a été contraint de démissionner de son journal, après avoir été entendu, en compagnie de son Directeur, par le Procureur de la République. Son tort, fut d’avoir publié avec l’assentiemnt de sa direction, un dossier portant sur la situation dans les prisons qui a irrité les autorités. Dans le même temps, le journal est la cible d’une campagne de résiliation d’abonnements par des entreprises publiques.
En juillet 2002, un jeune webmaster est condamné à deux ans de prison pour avoir animé un site sur Internet et diffusé des informations qualifiées de « fausses nouvelles ».
Des journalistes croupissent toujours en prison, d’autres, sont traqués, contraints à s’exiler ou à se reconvertir, et dans les rédactions, des pseudo journalistes s’érigent en censeurs des informations et des écrits jugés « subversifs ».

Les autorités clament de façon ostentatoire, que la presse et les médias sont libres ; et dans le même temps, elles interviennent pour bloquer l’accès à la Toile, sermonner les rédactions, sanctionner les expressions non conformistes, abreuver les journaux d’articles diffamants et mensongers à l’encontre des opposants et défenseurs des droits de l’homme.

Plus que jamais, le droit à la liberté de l’information et d’_expression, ainsi que le droit du citoyen à une information libre et honnête, fondements de la citoyenneté et de la vie démocratique, sont bafoués. La presse dans son ensemble, est déconsidérée par une opinion qui trouve de plus en plus refuge dans les médias étrangers.

Au temps de l’explosion de la communication et de l’Internet, la production culturelle et intellectuelle doit s’aligner ou se saborder. Tout débat contradictoire est suspect de troubler l’ordre public, l’indépendance intellectuelle est quasiment assimilée à un crime « de haute trahison ».

Nous, signataires de cet appel, considérons que cette appropriation de tous les circuits de la communication et de l’information, est insupportable et humiliante.
- Nous affirmons que nous sommes plus que décidés à arracher notre place dans la société qui est la nôtre, en exerçant pleinement notre citoyenneté, en brisant tous les interdits et les silences dans lesquels on cherche à nous confiner.
- Nous appelons la société civile en général, et les professionnels de l’information en particulier, à se mobiliser tous pour faire de l’année 2003, l’année de la défense et de la protection de la libre _expression en Tunisie.

Nom/prénon Profession

1 - Ben Hassine Tahar Directeur Chaîne Tv : « El Hiwar » (Paris)
2 - Ben Jaâfar Mustapha Forum FDTL
3 - Charfi Mohamed Professeur Universitaire
4 - Trifi Mokhtar Avocat
5 - Chebbi Mohamed Néjib Avocat et secrétaire général PDP
6 - Nouri Mohamed : Avocat, président AISPP
7 - Gribaa Hichem Economiste
8 - Ben Achour Sana Universitaire
9 - Chaabouni Hatem LTDH Comité directeur
10 - Ben Hadj Yahyia Fethi Enseignant
11 - El Héni Salma Journaliste
12 - Bensedrine Sihem Journaliste
13 - Hamrouni Raoudha UGTT
14 - Bououni Mohsen Ingénieur
15 - Khérigi Med Salah Enseignant
16 - Baazaoui Rakaya Institutrice
17 - Dridi Houda Médecin
18 - Hammami Fethi Fonctionnaire
19 - Ajroud Taicir Institutrice
20 - Labidi Naïma Professeur
21 - Ben Romdhane Hédi Professeur
22 - Marzouk Néji Editeur
23 - El Galaï Ahmed Conseiller d’orientation pédagogique
24 - Arfaoui Adel Professeur
25 - Belhassen Souhayr Journaliste
26 - Chouikha Larbi Universitaire
27 - Ben Jemia Monia Universitaire
28 - Chérif Khédija Universitaire
29 - Mechri Balkis Professeur
30 - Allégui Abdelkrim Universitaire
31 - Hamza Raouf Universitaire
32 - Adda George Journaliste
33 - Hajji Lotfi Journaliste
34 - Zamiti Khalil Professeur
35 - Hanachi Abdellatif Professeur
36 - Allani Alya Professeur
37 - Dhaoui Hechmi Docteur
38 - Chkir Hafidha Professeur
39 - Mabrouk Mehdi Professeur
40 - Azhouzi Attia Professeur
41 - Ellouze Mongi Fonctionnaire
42 - Jeribi Meya Fonctionnaire
43 - Bouattour Mohamed Hichem Pharmacien
44 - Bellamouchat Salah Expert
45 - Hamdi Ammar Professeur
46 - Haouachi Abdelmajid Journaliste et professeur
47 - Chebbi Issam Huissier notaire
48 - El Fehem Mouldi Ingénieur
49 - El Koum atti Mohamed Professeur
50 - Ben Daoud Noureddine Professeur universitaire
51 - Chebbi Anouar Expert
52 - Bouderbala Mohamed Etudiant
53 - Bouderbala Amor Fonctionnaire
54 - Hamdouni Habib Ecrivain poète
55 - Hassen Belgacem Inspecteur d’enseignement
56 - Chaïbi Walid Etudiant
57 - Zeghidi Mériem Etudiante
58 - Alibi Chéfia ATFD
59 - Abdeljaouad Jalel Enseignant
60 - Abdeljaouad Hella Médecin
61 - Abdeljaouad Mehdi
62 - Bellagha Zeïneb Nutritionniste
63 - Benjennet Leila Médecin
64 - Hamdane Samia Médecin
65 - Aloulou Taoufik Médecin
66 - Nanaa Jamila Fonctionnaire
67 - Dakhli Abdelwahab Enseignant
68 - Ben frej Hechmi Ingénieur
69 - Jegham Hechmi Avocat
70 -Marsit Mohamed Habib Enseignant
71 - Ben Fredj Abdessatar Universitaire
72 - Ben Khémaïs Abdelkader Universitaire
73 - Rejeb Salem LTDH
74 - Kraïem Mustapha Professeur universitaire
75 - Ben Aba Amel Professeur
76 - Ben Khader Noureddine Editeur
77 - Ben Rondhane Habiba
78 - Larabi Béchir
79 - Farhat Safia
80 - Ladjimi Chedly
81 - Hammami Besma Fonctionnaire
82 - Ouertani Raoudha Fonctionnaire
83 - Ben Youssef Zouheïr Universitaire
84 - Bokri Zied Enseignant
85 - Rjeïbi Amel Enseignant
86 - Abbou Mohamed : Avocat
87 - Abid Larbi : Avocat
88 - Abid Abdellatif : Universitaire
89 - Akremi Saïda : Avocate, SG AISPP
90 - Arbaoui Mokhtar : Syndicaliste
91 - Ayadi Abderraouf : Avocat
92 - Bedoui Abdeljelil : Universitaire
93 - Bedoui Mohamed Ali : Enseignant
94 - Ben Frej Abdessattar : Universitaire
95 - Belhadj Hamida Bochra Avocate
96 - Ben Khemis Abdelkader : Universitaire
97 - Ben Romdhane Ali : Ingénieur
98 - Ben Salah Mongi : Enseignant
99 - Ben Salem Ali : Ancien combattant
100 - Ezzaouia Khelil : Médecin,
101- Galaï Ahmed : Enseignant
102- Harcha Tijani : Economiste
103 - Hosni Néjib : Avocat porte-parole du CNLT
104 - Khechana Rachid Journaliste
105 - Manaï Hédi : Avocat
106 - Mechichi Saïd : Avocat, membre dirigeant CNLT
107 - Mestiri Moncef : Universitaire
108 - Mestiri Tahar : Médecin
109 - Mestiri Omar : SG du CNLT
110 - Nasr Sami : Chercheur en sociologie
111 - Rejiba Neziha (Om Zied) : Journaliste et écrivaine
112 - Smiai Ahmed : Enseignant
113 - Talbi Mohamed : Historien
114 - Abdel Wahab Hani Chercheur, Membre fondateur CPR (Paris)
115 - Abdelbéki Fathi, Ingénieur Informaticien (Paris)
116 - Allal Mourad Cadre supérieur (Paris)
117 - Amri Ahmed Médecin (Paris)
118 - Arouba Sadok, Ingénieur informaticien
119 - Bedda Fadhel, Instituteur (Paris)
120 - Ben Abdallah Sami Animateur webzine (Paris)
121 - Ben Amor Samir Avocat, membre de l’AISPP, trésorier du CPR
122 - Ben Hamidane Salim Juriste, membre fondateur du CPR (Paris)
123 - Ben Henda Mohamed Libraire (Genève)
124 - Ben Hiba Tarek Animateur associatif (Paris)
125 - Ben Salem Mohamed Ingénieur (Paris)
126 - Ben Ticha Noureddine Directeur REMJ (Paris)
127 - Benmohamed Imed Chercheur en Sc Po, membre fondateur du CPR (Paris)
128 - Bettayeb Riadh Ingénieur (Paris)
129 - Bouabdallah Salah Membre du bureau directeur de la ligue allemande des droits de l’homme (Allemagne)
130 - Boubaker Ridha Technicien de théâtre (Genève)
131 - Chaari Fethia Militante féministe (Paris)
132 - Chamari Khémaies Expert consultant
133 - Chebaane Hédi, Ingénieur Informaticien (Paris)
134 - Cherbib Mohieddine Animateur associatif (Paris)
135 - Chokri Hamrouni Universitaire (Paris)
136 - Dahmane Sami, Ingénieur (Paris)
137 - Derouiche Imen Chercheuse, journaliste, ancienne-prisonnière politique (Paris)
138 - Dhaouadi Aïcha, Enseignante, ancienne-prisonnière politique (Paris)
139 - El Farkh Fathi, Informaticien (Paris)
140 - Eleuch Ahmed, Psychiatre (Paris)
141 - Ennaes Fathi, SG de Solidarité Tunisienne (Paris)
142 - Ghamgui Mohamed, journaliste Quds Press (Paris)
143 - Hajlaoui Riadh, Chercheur (Paris)
144 - Jaziri Houcine journaliste, membre du Bureau Politique d’Ennahdha (Paris)
145 - Jebali Abdelkader, Chercheur (Paris)
146 - Jendoubi Kamel Président du CRLDHT
147 - Kéfi Mohamed Hédi, Enseignant (Paris)
148 - Khiari Sadri Universitaire
149 - Ksila Fatma Membre fondatrice CNLT
150 - Ksila Kémaies SG de la LTDH
151 - Laarayedh Ameur président du Bureau Politique d’Ennahdha
(Paris)
152 - Marzouki Moncef Médecin, Essaysite, président du CPR
153 - Matar Abdelwahab Avocat, membre fondateur du CPR
154 - Matri Jalel Association Meyrin Palestine (Genève)
155 - Mejri Abderraouf Technicien de la Santé (Solidarité Tunisienne - Paris)
156 - Moalla Taieb Journaliste (Canada)
157 - Mourad Ben Hammadi, Chercheur (Paris)
158 - Nasraoui Radhia Avocate
159 - S’habou Omar Directeur de journal
160 - Sfar Mondher Editeur Historien, Editeur, président du Collectif de la Communauté tunisienne en Europe (Paris)
161 - Thabet Adel, Chercheur, POCT (Paris)
162 - Toscane Luiza Journaliste, Ecrivain
163 - Trabelsi Mohamed, Enseignant (Paris)
164 - Yahmed Hédi, Journaliste
165 - Yakoub Chokri Cadre commercial (Genève)
166 - Chaïbi Habib Journaliste
167 - Hizaoui Abdelkrim Universitaire
168 - El Koussri Anaouar Avocat
169 - Ben Salem Chaouki Journaliste
170 - Oueslati Youssef Journaliste
171 - Sbaïhia Ayachi Fonctionnaire
172 - Akkari Nejmeddine Journaliste
173 - Jerbi Fethi Universitaire
174 - Jourchi Slaheddine Journaliste
175 - Jaouadi Abdelkkrim Journaliste
176 - Benjennet Néji Journaliste
177 - Allègui Saoud Etudiant syndicaliste
178 - Aouadi Yousra Etudiante
179 - Khayati Khémaïs Journaliste indépendant
180 - Sassi Néjib Journaliste
181 - Béjaoui Amel ATFD
182 - El Khzouri Hédi Professeur
183 - Mbarki Noureddine Journaliste
184 - Dhaouadi Mahmoud Journaliste
185 - Abdelkéfi Rabaâ Universitaire
186 - Kchir Khaled Universitaire
187 - Marzouki Ilham Universitaire
188 - El Mekki Heythem Cadre de banque
189 - Jendoubi Mouldi Syndicaliste LTDH
200_ Kfif Malek LTDH
201_ Hamma Hamami
202 - Abderrahmane Hedhili LTDH
203 - Redissi Hamadi Universitaire
204 - Zouari Abdallah Journaliste
205 - Yahyaoui Mokhtar
206 - Chamkhi Fethi Universitaire

 
 
 
 
A demain


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