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29 octobre 2009, par Rédaction de reveiltunisien.org
TUNISIE
A la veille de l’élection présidentielle, le 24 octobre 2009, Zine el-Abidine Ben Ali, candidat à sa propre succession pour un cinquième mandat, avait averti publiquement ses détracteurs que la loi serait "appliquée contre quiconque émettra des accusations ou des doutes concernant l’intégrité de l’opération électorale, sans fournir de preuves concrètes". Une fois le chef de l’Etat réélu avec 89,62% des voix le 25 octobre, les hommes de main du régime n’ont pas tardé à mettre ces menaces à exécution. (...)