En réponse à :
9 janvier 2004 21:42, par rosebud
Ma première réaction à cette lecture a été de me dire : "c’est beau une tunisienne qui clame l’amour de son pays". J’ai pris ce texte comme un (é)cri venu du cœur, comme une somme de choses ressenties et déversées parce qu’il faut bien que quelqu’un vide le vase quand trop peu s’autorisent à le faire sur des sujets sensibles. C’est probablement sa richesse mais aussi sa faiblesse. Sans me sentir les compétences pour argumenter, je me bornerai à énumérer quelques points qui me viennent à l’esprit :
Le christianisme n’est plus un instrument de pouvoir... Dans les pays occidentaux peut-être, mais l’influence (...)