En réponse à :
26 février 2003, par angelica
Un prisonnier en grève de la faim se trouve en danger. Son état physique et moral est déjà lourdement attaqué par un séjour en isolement depuis 12 ans. Il est en prison pour être rédacteur en chef de l’organe de presse d’un parti islamiste non reconnu : un parti que le pouvoir en place juge dangereux pour l’Etat, c’est-à-dire, en traduction courante, pour les intérêts personnels du président général et de son entourage mafieux.
La grève de la faim l’a affaibli, au point qu’il ne peut plus se tenir debout, (...)