En réponse à :
30 avril 2003, par Omar Khayyâm
A LA RECHERCHE DE LA TUNISIE NOUVELLE
Quand j’ai quitté Casablanca et le "faste" marocain pour aller rejoindre le journaliste Taoufik Ben Brik, qui revenait le 7 septembre en Tunisie après un court exil à Paris et une grève de la faim de cinq semaines, je m’attendais à être fraîchement accueilli par les policiers de la petite dictature tunisienne. Un an auparavant, pour avoir écrit un violent réquisitoire contre le président Ben Ali, j’avais eu droit à la visite d’un commis de l’ambassade (...)