En réponse à :
20 octobre 2004 12:01
On parle d’espoir et de souffrance... mais ces faits sont banals... vous connaissez la difficulté pour les tunisiens à orchestrer une révolution, à réclamer leurs droits, à obtenir la libération des prisonniers politiques.
Je pense que nous sommes une minorité dans la minorité à réellement cerner le problème de la tyrannie, de toutes les tyrannies et à comprendre la nécessité du règne des droits de l’Homme par dessus tous les autres droits et devoirs.
Si la Tunisie est une dictature, ce n’est pas par hasard, elle y était prédisposée socialement et historiquement. S’il y a des tortures dans nos prisons, (...)