En réponse à :
20 novembre 2007 09:56, par hasni
Sans vouloir entrer dans l’échange, j’aimerai souligner que l’action ne s’oppose pas au devoir de mémoire. Les rapports, les témoignages sur les problèmes tunisiens permettront à la justice de faire son travail, aux historiens de replacer les faits en mettant aussi des noms dessus, aux familles de comprendre comment ont été traité les leurs sous bourguiba ou ben ali. Pour construire un pays comme une action, il ne faut pas partir de rien. Il doit y avoir un certain travail préalable, des objectifs, des moyens à rechercher. L’action par l’union des politiques, je n’y crois pas. Les partis actuels sont (...)