En réponse à :
12 avril 2005 17:22
Zou ton paradis est-il parti avec le vent ?
Il n’est même pas permis à un mort de critiquer un vivant
Je t’avais promis que je le porterai avec tout ce que je ressens
Mais tu ne voudras pas que je navigue avec ce courant
Les dernières soirées je les ai encore dans mon cœur serrant
Tu savais accrocher le nouveau venant
Maintenant je les vois réclamer le silence aux intervenants
Même un mort ne peut critiquer un vivant
Farhat