En réponse à :
4 octobre 2007 11:31, par hasni
Je ne crois pas qu’il s’agisse de compassion ou de se demander si telle personne aurait fait pire à la place de. Les droits sont valables pour tout le monde. Quelqu’un qui en est privé en raison de ses idées est quelqu’un à défendre, même si on ne partage pas ses idées. Ce n’est donc pas de compassion mais de justice pour tous et d’égalité de traitement.